31 octobre 2008

Belles comme un coup de crayon...

Stéphane Manel exerce son art depuis plus de 3 ans mais j'avais quand même envie de parler de ce grand homme de l'illustration, notamment parce qu'il vient de remettre à jour son très beau site web qui présente maintenant une belle exhaustivité de son travail.

Si vous ne connaissez pas son nom, son trait, vous le connaissez à coup sûr. Travaillant pour l'édition, la pub ou la musique, vous êtes sûrement tomber sur un de ses dessins au détour d'un magazine, d'une affiche dans la rue ou d'un disquaire.

Des exemples de ce travail, je pourrais en mettre ici des tonnes mais je vais me focaliser uniquement sur les représentations de la femme. Car ces dessins, à la fois travaillés et négligés, sont d'une sensualité étonnante.

Franchement, un coup de crayon peut vraiment très beau des fois...



Site Web de Stéphane Manel

30 octobre 2008

Clips en vrac #5 : Vilaines chansons...

Depuis deux jours, la température extérieure s'est largement refroidie. On ressort les doudounes du placard et on monte le chauffage. Perso, j'ai une autre solution pour vous... Ecouter cette petite sélection de chansons aux paroles plus ou moins (souvent plus !) explicites... Ca va vous donner très très chaud !!! ENJOY !!!

Sir Mix-A-Lot - BABY GOT BACK

"I like big butts and I can not lie / You other brothers can't deny"

Bell Biv Devoe - DO ME

"Backstage, under age, adolescent / How ya doin', “Fine,” she replied / I sighed, “I like to do the wild thing” / Action took place / Kinda wet, don't forget"

Divinyls - I TOUCH MYSELF

"I don't want anybody else / When I think about you / I touch myself / I don't want anybody else"

Cindy Lauper - SHE BOP

"Do I wanna go out with a lion's roar / Huh, yea, I wanna go south n get me some more / Hey, they say that a stitch in time saves nine / They say I better stop or I'll go blind / Oop she bop she bop"

TLC - RED LIGHT SPECIAL

"I'll let you touch it if you'd / Like to go down / I'll let you go further / If you take the southern route"

24 octobre 2008

Made in 90's #4 : les meilleurs albums R&B

Le Top 10 est le hobby préféré du geek. Donc, comme tout bon geek, je vais commencer ici une série de posts de TOP 10 DÉFINITIFS sur le cinéma, la musique ou les séries TV.

Et pour commencer, les 10 meilleurs albums R&B des années 90. Pretit préambule : à la fin des années 80, début des années 90, le R&B, devenu un genre un peu molasson de musique de chambre, est complètement chamboulé par un nouveau son inventé par le génial producteur Teddy Riley : le New Jack Swing. Tout d'un coup, les rythmes du Hip Hop s'invitent dans les harmonies vocales et le genre ne s'en remettra plus jamais... Autant dire que les années 90 sont une période intense de créativité pour le R&B et la soul, dont les nouvelles icônes se nomment Mary J. Blige ou R Kelly...

Bien sûr, c'est purement une question de goûts et j'attends avec impatience vos Top 10 perso dans les commentaires si le sujet vous inspire !

1. TLC - CRAZY SEXY COOL (1994)
Après un premier album inégal qui surfait sur une vague "sexy féministe", TLC s'affirme avec son deuxième album comme un groupe à la personnalité extraordinaire, chacune complètement parfaitement l'autre, tant au niveau de la voix que du caractère. Accompagnées par des producteurs au top niveau (notamment organized noize et Dallas Austin), les trois filles livrent le meilleur album R&B de la décennie - sans hésitation !

2. MAXWELL - URBAN HANG SUITE (1996)
Conçu comme un album concept suivant l'intégralité d'une relation amoureuse, le premier album de Maxwell (enregistré en 1994 mais sorti 2 ans plus tard car la maison de disque n'y croyait pas) est un pur album soul d'un romantisme absolu. Et si le genre est depuis revenu à la mode, on pouvait pas en dire autant au milieu des années 90, dominées par les restes du gangsta rap et le retour en force d'un hip hop newyorkais très dur. Une révélation !

3. LAURY HILL - THE MISEDUCATION OF LAURYN HILL (1998)
Pas à proprement parlé un album R&B, le premier album solo de la chanteuse des Fugees mélange les genres pour un résultat délicieux que beaucoup, j'en suis sûr, auraient mis en n°1. Paroles inspirées, production soignée et carrément classe, THE MISEDUCATION est juste ce type d'albums qui ne prennent aucune ride - même 10 ans après sa sortie.

4. MARY J. BLIGE - MY LIFE (1994)
Le deuxième solo de la reine du Hip Hop est la quintessence absolu du mélange réussi d'un esprit purement rap et d'un R&B soyeux. Avec sa voix de diva soul et son énergie rageuse de B-girl, Mary J., ici produit par Sean Combs (aka P Diddy), réussit là le meilleur album de sa carrière déjà très riche.

5. BLACKSTREET - BLACKSTREET (1994)
Inventeur du New Jack Swing, Teddy Riley transcende le genre qu'il a créé avec le premier album de son deuxième groupe. Tous les titres (16 au total) sont des singles potentiels, tour à tour destinés à la chambre à coucher et au dancefloor.


6. TONI BRAXTON - TONI BRAXTON (1993)
Produit dans sa quasi-intégralité par le "alors" génial Babyface, le premier album de la sublime Toni Braxton est un pur plaisir coupable, avec ses harmonies et ses sons qui sentent la guimauve et les histoires d'amour malheureuses. C'est juste beau à en pleurer et c'est bon de pleurer de temps en temps.

7. GUY - THE FUTURE (1990)
Deuxième album du premier groupe de Teddy Riley, THE FUTURE est une nouvelle fois une démonstration absolue de New Jack Swing.







8. DRU HILL - ENTER THE DRU (1998)
Après un premier album bon mais pas très original produit par Jermaine Dupri (Kris Kross, Da Brat...), Dru Hill s'affranchit des conventions avec ce deuxième album qui emprunte à la techno et à la jungle pour offrir des sons supersoniques qui influencent encore aujourd'hui bon nombre d'artistes Hip Hop.

9. BRANDY - NEVER SAY NEVER (1998)
Produit quasi-intégralement par Rodney Jerkins, le deuxième album de Brandy est plus "pop" que le premier mais terriblement accrocheur, porté par l'immense single "The Boy is Mine". Mais ce qui marque le plus, c'est la voix de la chanteuse, tellement cristalline

10. SOCIETY OF SOUL - BRAINCHILD (1996)
Unique album de ce groupe concept qui consiste, en gros, à toute l'écurie Organized Noize d'Atlanta, BRAINCHILD infuse la soul avec un R&B du sud pour un résultat splendide. C'est un peu la version soul des premiers albums d'Outkast en gros !
!

21 octobre 2008

Wahlberg vs. Samberg : la mini saga

Je ne sais pas si c'est cette maudite crise mais les grands moments d'humour se multiplient sur ce blog, ces derniers temps. Dernier exemple en date...

Au début de l'année, on a assisté à l'affrontement viral du présentateur télé Jimmy Kimmel et de la star Matt Damon.

Cet automne, c'est au tour de l'humoriste Andy Samberg (du SNL) et de la star Mark Wahlberg de s'affronter par vidéos interposées - même si "l'affaire" a été résolue plutôt vite...

Tout a commencé avec ce sketch du Saturday Night Live dans lequel Andy Samberg se livre à une imitation MEMORABLE de la star.



Une semaine plus tard, Walhberg déclare dans le talk show de Jimmy Kimmel (encore lui) qu'il n'est pas fan de l'imitation et qu'il aimerait "mettre son poing dans la gueule de Samberg".


Quelques jours plus tard, comme promis dans l'émission, Walhberg est dans le show pour frapper Samberg.


Bon, tout ça n'est pas aussi grandiose que les vidéos Kimmel/Damon, mais ça vaut vraiment le coup !

20 octobre 2008

QUANTUM OF SOLACE

CASINO ROYALE avait donné un grand coup de pieds aux fesses de la plus célèbre franchise du cinéma. QUANTUM OF SOLACE, toujours avec Daniel Craig dans le rôle de l'agent 007, confirme et enfonce le clou.

Désormais, finis les gadgets plus ou moins inspirés, finis les brushing aérodynamiques, finis les méchants d'opérettes, finis les décors et effets spéciaux kitsch. Le nouveau Bond a plus que jamais des allures de Jason Bourne, les costumes Prada et l'Aston Martin en plus.

Suite directe de CASINO ROYALE, QUANTUM OF SOLACE, en salles le 31 octobre, fait donc la part belle à une action brutale, où chaque cou fait mal, très mal. Et dans le genre, la scène d'ouverture, une poursuite en voiture en Italie, est une des plus ahurissantes de la saga. Filmé au plus près, cette scène vous cloue littéralement au siège !

Car, si Marc Forster (A L'OMBRE DE LA HAINE, NEVERLAND...) était jusque là plutôt considéré comme un metteur des émotions, il entre ici direct dans la catégorie "poids lourds" de l'action, tant sa mise en scène des scènes d'action est puissante, efficace et soignée. De ce point de vue là, c'est une véritable révélation, d'autant que les scènes de baston et de poursuite s'enchaînent à vitesse grand V!

Mais fidèle à sa réputation, Forster ne délaisse en rien ce qui fait le grand intérêt de ce nouveau Bond. En effet, on a laissé le personnage à la fin de CASINO ROYALE en pleine détresse suite à la mort de son seul et unique amour, Vesper (Eva Green). QUANTUM OF SOLACE est donc sa vengeance... Mais Bond n'est pas homme à laisser parler ses sentiments. On assiste donc à la quête mélancolique d'un tueur au sang froid. Et ça fait parfois froid dans le dos, tant son aptitude à tuer sans sourciller (voire à y prendre du plaisir) est glacial...

L'évidence du choix de Daniel Craig pour tenir le rôle de Bond apparaît donc là encore plus clairement, sa mâchoire carrée, son visage buriné et surtout ses yeux bleus glace faisant des miracles.

Bref, QUANTUM OF SOLACE est une réussite - à condition d'avoir vu (voire revu) CASINO ROYALE, sous peine de ne pas comprendre grand chose à ce qui se passe tant les références sont nombreuses.

16 octobre 2008

Le porno sans le sexe, c'est mieux...

Franchement, le sexe dans un porno, c'est un peu ennuyeux. C'est aussi l'avis du scénariste et réalisateur James Gunn, à qui l'on doit le scénario de L'ARMEE DES MORTS ou le film HORRIBILIS, deux petits bijoux du cinéma d'horreur de ces dernières années.

Gunn a donc eu une idée de génie : convier quelques fameuses porn-stars pour des pornos... sans sexe !

Et tout de suite, c'est beaucoup moins ennuyeux...

Le premier épisode : "Nailing your Wife"

14 octobre 2008

Ben Stiller in love with Tom Cruise !

Cette semaine, c'est enfin la sortie française de TONNERRE SOUS LES TROPIQUES, le chef d'oeuvre comique de Ben Stiller. L'occasion, comme je l'ai déjà dit, de découvrir une galerie d'acteurs hollywoodiens dans la peau de personnages très haut en couleur (et c'est bien le cas de le dire pour Robert Downey Jr !!!).

Et parmi ceux-ci, la star des stars : Tom Cruise, dont Stiller avoue être sans honte le plus grand "fan" du monde !

L'occasion de revenir sur l'histoire d'amour qui lie Ben Stiller à Cruise depuis plusieurs années à travers des sketchs carrément hilarants !

D'abord, il y a ce sketch du Saturday Night Live dans lequel Ben Stiller imite Cruise avec un mimétisme totalement dément ! Ca en est presque flippant !



Il y a aussi ce sketch diffusé pour les MTV Movie Awards (et dispo dans le DVD de Mission Impossible 2) dans lequel Stiller incarne la doublure de Cruise depuis ses débuts ! Un classique !

12 octobre 2008

Dur Dur de faire durer sa série...

Avec son humour sec et trash et son casting d'inconnus, la série IT'S ALWAYS SUNNY IN PHILADELPHIA a eu du mal à s'imposer à la télé américaine. D'ailleurs, il suffit de prendre les titres des épisodes pour se convaincre que l'on est pas dans "Friends" mais plutôt dans une version de "Seinfeld sous crack" : "Charlie veut se faire avorter", "Mac se tape la mère de Dennis", "La bande se met au Jihad" etc.

Sur le point d'être annulée après les 7 premiers épisodes de la première saison, les producteurs/acteurs réussirent pourtant à convaincre le grand maître de l'humour noir, Danny De Vito, de jouer dans leur série. Ce qui changea radicalement la donne pour le show qui en est désormais à sa cinquième saison. MAIS A QUEL PRIX ?

Qui aurait pu imaginer les sacrifices des producteurs/acteurs de la série pour garder leur nouvelle star ? Hollywood est vraiment un monde vraiment impitoyable !



Découvrez la série sur son Site officiel !

09 octobre 2008

Qui est le plus fort : De Niro ou Pacino ?


Ils sont tous les deux nés à New York. A trois ans d'intervalles. Ils ont tous les deux des origines italiennes. Et ils ont commencé leur carrière cinématographique à peu près au même moment, à la fin des années 60...

Ils sont tous les deux des légendes incontestées du cinéma américain. Ils ont été à l'affiche ensemble de 3 films : LE PARRAIN 2 en 1974 (mais pas ensemble à l'écran), HEAT en 1995 et LA LOI ET L'ORDRE, qui sort cette semaine en France.

L'occasion pour comparer les carrières de ces deux monstres sacrées, à la fois si proche et éloignée, pour ENFIN savoir qui est le meilleur : AL PACINO ou ROBERT DE NIRO. Attention, c'est ce qu'on appelerait du "scientifique subjectif" :

1970-1974
Les années 70 commencent très bien pour Al Pacino qui enchaînent PANIC AT NEEDLE PARK (1971), LE PARRAIN (1972), L'EPOUVANTAIL (1973) et SERPICO (1973) alors que De Niro a du mal à sortir de l'underground des premiers films de Brian De Palma. En 1974, ils sont tous les deux à l'affiche du PARRAIN 2 pour lequel De Niro obtient l'Oscar du meilleur second rôle.
>> Vainqueur : PACINO



1975-1979
A partir de 1973 (MEAN STREETS), De Niro quitte l'expérimental de De Palma pour le réalisme de Scorsese, amorçant ainsi le tournant de sa carrière. Résultat : TAXI DRIVER (1976) et NEW YORK NEW YORK (1977). Il enchaîne alors sur le 1900 de Bertolucci, LE DERNIER NABAB d'Elia Kazan et surtout VOYAGE AU BOUT DE L'ENFER. Pendant ce temps, pas grand chose de la part de Pacino, hormis UNE APRES-MIDI DE CHIEN (1975).
>> Vainqueur : DE NIRO


1980-1984
De Niro débute la décennie avec l'Oscar du meilleur acteur pour RAGING BULL, alors que Pacino traîne dans les clubs gay dans CRUSING de William Friedkin. Ensuite, SCARFACE (1983) pour Pacino contre IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE pour De Niro.
>> Vainqueur : DE NIRO (de peu !)




1985-1989
Rien à signaler pour Pacino qui ne tourne rien pendant 4 ans ! De Niro, lui, enchaîne BRAZIL (1985), MISSION (1986), ANGEL HEART (1987) et LES INCORRUPTIBLES (1987)
>> Vainqueur : DE NIRO (par forfait !)







1990-1994
De Niro et Pacino reviennent aux basiques en 1990, avec respectivement LES AFFRANCHIS et LE PARRAIN 3. S'en suivent LES NERFS A VIF pour De Niro qui réalise également son premier film en 1994 (le demi-succès IL ETAIT UNE FOIS DANS LE BRONX) alors que Pacino obtient un Oscar (le seul) pour LE TEMPS D'UN WEEK-END et enchaîne avec le plus grand film des années 90, L'IMPASSE (1993) de Brian De Palma.
>> Vainqueur : PACINO



1995-1998
En 1995, Pacino et De Niro sont à l'affiche du même film HEAT pour un face à face d'anthologie dans un des tout meilleurs films des années 90. S'en suivent des rôles auto-parodiques pour Pacino qui cabotine plus que jamais (CITY HALL, L'AVOCAT DU DIABLE, DONNIE BRASCO...) et des grands rôles pour De Niro (CASINO, JACKIE BROWN, DES HOMMES D'INFLUENCE, COP LAND...)
>> Vainqueur : DE NIRO



1999-2004
L'année charnière est en fait 1999 avec Pacino qui tourne le gigantesque REVELATIONS de Michael Mann tandis que De Niro cabotine et se ridiculise dans MAFIA BLUES. Pacino enchaîne alors les grands rôles dans des grands films (L'ENFER DU DIMANCHE, INSOMNIA, SIMONE) tandis que De Niro enchaîne les navets (15 MINUTES, THE SCORE, MEN OF HONOR...) et les comédies plus ou moins bonnes (ROCKY & BULLWINKLE, MON BEAU-PERE ET MOI...)
>> Vainqueur : PACINO (de très loin !)


2005-2008
Succession de navets pour les deux. De Niro tourne beaucoup plus que Pacino mais très peu de films sont à sauver ces 4 dernières années dans la filmo des deux, hormis peut-être STARDUST pour De Niro ou son deuxième film de réalisateur que "certains" aiment beaucoup...
>> Vainqueur : DE NIRO (mais pas convaincu)



D'un pur point de vue cinématographique, le vainqueur serait donc DE NIRO à la faveur d'une filmographie beaucoup plus fournie !!

05 octobre 2008

Les Retro Kidz sont-ils une arnaque ?

Que penser des Retro Kidz ? Je suis tombé sur eux au détour de plusieurs blogs qui semblaient s'enthousiasmer pour ce nouveau groupe de rappeurs new-yorkais. Au nom, on se dit que c'est encore un nouveau groupe "hipster rap" comme les Cool Kids ou Kidz in the Hall. Ca a l'air top quoi ! Pourtant, on sent quelque chose qui cloche... Notamment, ce mot "retro". Pourquoi, tout d'un coup revendiquer le fait d'être "retro" ? Ca sent le marketing de la nostalgie à plein nez...

Mais regardons le clip... On aura peut-être une bonne surprise !



Raté... Ce n'est pas que le morceau soit raté... Avec ce sample de "The Power" de Snap et un refrain sympa, c'est dansant et fun. Un bon morceau pop quoi !

Mais au lieu d'apporter une touche personnelle, un peu de personnalité, les Retro Kidz ne font que copier voire singer les looks, les danses, l'esthétique et les codes de ces fameuses années 80 et 90. De Kid & Play au Prince de Bel-Air en passant par Big Daddy Kane, Spike Lee, Bobby Brown et j'en passe, toutes les icônes de cette époque y passent pour un résultat qui ne fait malheureusement appel QUE à la nostalgie !

Bref, j'ai bien peur que les Retro Kidz ne soient qu'un PUR produit marketing qui ne passera guère l'épreuve que du premier single (et encore même ça n'est pas gagné !). Reportez-vous plutôt aux vrais B-boys modernes : les Cool Kids, les Kidz in the Hall et The Knux !!!!!

03 octobre 2008

Même les people ont la nostalgie des 80's !

Cette couverture de Paris Match, tout le monde l'a déjà vu... Mais je voulais juste faire un petit commentaire dessus !

Aujourd'hui, les années 80 sont partout, dans la mode, les clips, le cinéma etc. Et bien maintenant, elles sont même dans les magazines people. Cette couverture, c'est un concentré d'esprit 80's : la pose lassive sur la plage, le titre "duo d'amour en Colombie", la barbe de 3 jours et surtout les sujets.

Cette couv', c'est Connor McLeod de Highlander qui se tape Vic de la Boom ! Christophe Lambert et Sophie Marceau ensemble ! Même les people ont la nostalgie des années 80 !!!!