22 septembre 2010

Yearbook #2 : Promo 1984

Je crois que cette rubrique YEARBOOK est ma préférée. Mais c'est aussi la plus longue à rédiger. Ce que vous allez lire ci-dessous m'a pris près de deux semaines. Mais je crois que ça vaut le coup. J'espère.

Alors après la promo 1997, voici la promo 1984. Il est bien possible que beaucoup d'entre vous n'étaient même pas des embryons dans le ventre de leur mère cette année-là mais, à la limite, tant mieux. Moi-même, je n'étais pas très vieux. J'avais 5 ans. Tant mieux car autant vous dire tout de suite que 1984 est une des années les plus importantes pour la pop culture mondiale. Le nombre de films, de chansons et séries imparables sorties cette année-là est juste incroyable. Dans les 30 dernières années, très peu d'années peuvent rivaliser. La promo 1984 est un cru exceptionnel.

En parcourant le trombinoscope pop de la promo 1984, vous allez vite comprendre pourquoi...

CELUI A QUI L'ON DOIT LA RÉPLIQUE CULTE
Lui, il n'arrêtait pas de répéter qu'il reviendrait. Sur le coup, nous, on aurait bien voulu qu'il dise vrai. Bon, c'est vrai que Sarah Connor, elle était pas trop pour. Mais que voulez-vous ? Qui peut lutter contre un robot autrichien bodybuildé répondant au doux nom d'Arnold "Terminator" Schwarzenegger ? "I'll Be Back" qu'il disait. Et oui, il est revenu. En 1991, en 2003 et en 2009. Sarah Connor ne lui dit pas merci. Nous non plus - à part pour 1991... Voir la scène.

CELUI QUI NE DÉCOLLAIT PAS SON CUL DE MTV
Lui, cette année-là, sa résolution était de passer moins de temps devant la télé mais avec des clips de 14 minutes tournés comme un long-métrage, comment voulez-vous faire autrement ? Alors, au final, il est resté bloqué devant MTV à regarder le clip de "Thriller" de Michael Jackson qui contient à peu près tout ce qu'on peut demander à un film et à la vie : de l'amour, de la danse et des zombies. A quoi bon sortir vivre sa vie au grand air alors que, cette année-là, il y a ça sur MTV et que ça vous est gracieusement offert par Jacko ? Voir le clip.

CEUX QUI ÉTAIENT MÉCHANTS
Vous aussi, si on vous faisait manger après minuit, qu'on vous mettait dans l'eau sans vous le demander et qu'on vous aveuglait avec une lumière vive, vous deviendrez méchant. Comment en vouloir, alors, à Gizmo de donner naissance à ses ignobles créatures que sont les Gremlins quand on lui inflige tous ses méfaits ? Reste que, cette année-là, ses bestioles gluantes ont tout saccagé sur leur passage. Même le box-office ! Voir la bande-annonce.

CELUI QUI REGARDAIT BEAUCOUP LA TÉLÉ
Lui, comme sa nouvelle idole Sonny Crockett de Deux Flics à Miami, s'est soudainement mis à porter des Ray-Ban Wayfarer et des T-shirts sous ses vestes amples Armani (ou simili). Le pêche, le blanc, le fuchia deviennent ses couleurs préférés et ils arrêtent même de porter des chaussettes avec ses mocassins sans lacets. Il aurait bien aimer se laisser pousser une petite barbe de trois jours mais bon, à 16 ans, c'est pas toujours facile. Voir la vidéo.

CELLE QUI ÉTAIT LA 'IT GIRL'
La blonde Daryl Hannah avait déjà fait une apparition remarquée deux ans plus tôt dans BLADE RUNNER mais c'est seulement cette année-là qu'elle devient une des actrices les plus en vogue de la décennie, à la fois sex-symbol grâce à SPLASH de Ron Howard, héroïne romantique dans RECKLESS de James Foley et actrice dramatique respectée dans LE PAPE DE GREENWICH VILLAGE. Voir la bande-annonce de SPLASH.

CEUX QUI ÉTAIENT EN COUPLE
Entre Diane Lane et Jon Bon Jovi, ce fut bref mais intense. L'histoire d'amour de ces deux-là est aujourd'hui un peu oublié par le commun des mortels mais elle fut à ce point mémorable qu'elle inspira au rocker blond la chanson "You Give Love A Bad Chance". Bon Jovi venait en effet à peine de sortir son premier disque quand il rencontra Lane qui, à l'époque, consomme les petits copains (Matt Dillon, Christopher Atkins, Timothy Hutton) aussi vite que ses croissants du matin. Lui quittera sa petite-amie du lycée pour elle. Elle le quitta après quelques mois pour Christophe Lambert. You Give Love A Bade Name, indeed ! Voir le clip de "You Give Love A Bad Name".

CEUX QUI AVAIENT LE PIRE LOOK
Cette année, ceux-là, sortait "Love At First Sting" et s'affichait en couverture de la version soft de l'album en intégral cuir noir, nuques longues et/ou grosses 'staches. C'est le look de Scorpions mais aussi celui d'une bonne partie des groupes de hard rock (plus ou moins FM) qui débarquent dans les charts cette année-là : de Bon Jovi à Van Halen en passant par Saxon, Judas Priest, Iron Maiden et j'en passe. En même temps, comment voulez-vous être habillé quand vous enchaînez sur le même album "Rock You Like A Hurricane" et "Still Loving You" ? Voir le clip de "Still Loving You"

CELLE QUI AVAIT LE MEILLEUR LOOK
On fait la connaissance de Punky Brewster cette année-là et, ni les filles, ni les garçons ne s'en remettront vraiment. Avec ses tâches de rousseur, son charme instantané, ses chaussures non assorties, ses couettes et ses habits multicolores, la petite Punky définit le look ultime de quiconque voudrait affirmer haut et fort à quel point il se sent bien dans sa peau et ses fringues. Voir le générique.

CEUX QUI SAUVAIENT LE MONDE
Comme tous les sauveurs du monde, l'équipe de SOS Fantômes n'avait rien demandé à personne. Mais ce groupe de parapsychologues durent bien se résoudre à sauver la veuve et l'orphelin d'une invasion de fantômes et d'ectoplasmes en tous genres, dont un bibendum géant. Comme Peter Venkman dirait : "On est venu. On a vu. On leur a botté le cul" Voir la bande-annonce.

CEUX QUI EMBALLAIENT PENDANT LES SLOWS
Le titre du meilleur emballeur pendant les slows fut difficile à départager cette année-là. Entre Wham et son "Careless Whisper", Foreigner et son "I Want To Know What Love Is", Phil Collins et son "Against All Odds", Lionel Richie et son "Hello" ou The Cars avec son "Drive", la compétition fut acharnée. Autant vous dire qu'avec tout ça, le taux de natalité a du grimper en flèche en 1984. Mais c'est au final, Frankie Goes To Hollywood et son "The Power of Love" qui l'emporta finalement. Cela s'est joué sur le fil mais la puissance de cette chanson la place au-dessus des autres. Voir le clip.

CELUI QUI ÉTAIT NU
Après de la quasi-figuration, Christophe Lambert faisait ses (presque) débuts au cinéma dans GREYSTOKE et en profitait donc pour tomber le haut, le bas et tout le reste, provoquant quelques chaleurs nocturnes à Jane alias Andy McDowell. Il se glissait alors dans la peau de la version la plus hardcore de Tarzan que vous ne verrait jamais sur grand écran. Voir la bande-annonce.


CELUI QUI SE PRENAIT UN GROS BIDE
Avec COTTON CLUB et DUNE, Francis Ford Coppola et David Lynch se plantèrent en beauté cette année-là. Mais rien en comparaison de Sergio Leone qui réalisait avec IL ETAIT UNE FOIS EN AMÉRIQUE le film de ses rêves et aussi un des plus gros échecs commerciaux du cinéma moderne, les producteurs ne récupérant que 18% de leur mise initiale. Un crève-coeur quand on sait que le réalisateur italien n'avait alors pas tourné depuis treize ans et qu'il ne tournera plus jamais après (il est mort en 1989). Un crève-coeur quand on constate aujourd'hui à quel point son film est un chef d'oeuvre absolu. Voir la bande-annonce.

CELLE QUI S'HABILLAIT COMME MADONNA
Elles étaient toutes habillées pareils cette année-là. Normal. Après l'avoir vue se rouler sur scène en chantant "Like A Virgin" aux MTV Video Music Awards avec sa robe de mariée à frou-frou et bustier en dentelle, ses cheveux péroxydées et ses dizaines de chaînes autour du cou, toutes les filles de la Terre voulaient s'habiller comme Madonna. Voir la prestation.

CEUX QUI FAISAIENT DE LA DANSE
Dans la cour de récrée ou au bal de promo, lui ne fait plus que ça, cette année-là. Le Break est sa nouvelle religion. Plus un mouvement, plus un geste qu'il ne "break". Ca lui a pris en sortant du ciné où il avait été voir le film BREAKIN. Normal donc que son hymne soit devenu instantanément "Breakin'" de Ollie & Jerry. D'ailleurs, c'est le seul morceau qui sort des enceintes de son boom box ! Voir le clip.

CELLE DONT ON NE SE SOUVIENT PLUS
Elle eut le destin de la très très grande majorité des chanteuses de cette décennie. Un tube, voire deux, et s'en va. Cette année-là, ce fut le destin de Deniece Williams ("Let's Hear It for the Boy"), de Nena ("99 Luftballons") et donc de Laura Branigan dont le "Self Control" reste le dernier moment de gloire. Mais la chanteuse - où qu'elle se trouve - peut toujours se consoler avec les dizaines de reprises dont sa chanson fait encore l'objet aujourd'hui. Voir le clip.

CELUI QUI AVAIT LES PLUS BEAUX ABDOS
Lui, récemment endeuillé par le décès de sa femme, décide de quitter les bas-quartiers de Brooklyn pour s'installer dans le Connecticut où il pourra élever sa fille dans de meilleures conditions. Mais si ses gros bras et ses abdos d'acier auraient pu naturellement faire de lui un déménageur ou un ouvrier du bâtiment, c'est comme homme de maison que Tony Micelli trouvera sa voie. Madame est Servie. Dans tous les sens du terme. Voir le générique.

CELLE QUI AVAIT DES (GROS) SEINS
Elle n'aura pas été celle qui aura fait des actrices à gros seins des actrices respectées. Cette année-là, Bo Derek, top-model star devenue actrice par la grâce d'un mariage avec un réalisateur de 30 ans son aîné, récolte son deuxième Razzie Award de la pire actrice pour BOLERO dans lequel elle incarne une jeune et riche étudiante anglaise parcourant le monde pour trouver l'homme idéal pour la défleurer. Tout un programme résumé dans l'extraordinaire catchline du film : "Une aventure dans l'extase".

CELUI QUI AIMAIT (TROP) LA JUNK-FOOD
Lui était persuadé que la danse était le remède à tous les maux. 25 ans plus tôt, il appliquait en effet le fameux adage de SEXY DANCE 3 (!) : "One move can bring people together. One move can make you believe like there's something more. One move can set a whole generation free." Rien de moins. Appliqué à une petite ville de l'Oklahoma dirigée d'une main de fer par un pasteur fanatique, cela donne Footloose, du sucre en forme de (Kevin) Bacon. Autant vous dire un petit-déjeuner riche en calorie. (cette blague a été écrite à 2h du matin). Voir la bande-annonce.

CELUI QUI AVAIT UN GOSSE
Il en avait même plusieurs des gosses. Il en avait cinq au total. Sondra, Denise, Theo, Vanessa et Rudy étaient parfois quelques peu turbulents et posaient souvent quelques soucis à leur cher papa, tout se terminait toujours bien au pays du Cosby Show. Car Bill Cosby était, on en était tous persuadé, le meilleur papa du monde ! La preuve : il aura mis neuf ans à nous laisser prendre notre envol. Neuf ans de pulls bariolés. Neuf ans de bonheur. Voir un extrait.

CELLE QUI ÉTAIT DINGUE
"She's So Unusual". C'est le titre de son premier album qui sort cette année-là. Comme le dit le nom de son disque, Cyndi Lauper n'est pas comme les autres : elle a les cheveux rouges, une voix sur-aiguë, un accoutrement vestimentaire bariolé et multicolore et des chansons féministes sur la fête ("Girls Just Want To Have Fun"), la masturbation ("She Bop") et l'amour ("All Through The Night", "Time After Time"). Voir le clip de "She Bop".

CELLE QUI ÉTAIT BLONDE
Elle était une épouse des plus normale. A la suite de la disparition de son mari, elle est devenue strip-teaseuse dans un peep-show de Houston, Texas. Elle, c'est Nastassja Kinski. Elle va finalement retrouver son mari et rêver ensemble de Paris, Texas. Elle est devenue une icône pop absolue. Voir la scène du peep-show ou une des plus belles choses que vous ne verrez jamais dans votre vie.

CELUI QUI DISAIT DES GROS MOTS
Lui a dit beaucoup de gros mots cette année-là. Mais personne ne lui en a vraiment voulu. Au contraire même. D'ailleurs, pendant près de 20 ans, Le Flic de Beverly Hills est le film ayant rapporté le plus d'argent à ses producteurs proportionnellement au nombre de gros mots prononcés. Eddie Murphy rendait ça tellement naturel qu'aucun parent n'a jamais rien eu à dire à leurs enfants sur le film. Voir la bande-annonce.

CEUX QUI ÉTAIT LES PLUS DRÔLES
Eux n'existaient pas pour de vrai même ils ont tout fait pour nous faire croire le contraire. Cette année-là, David St Hubbins, Nigel Tufnel et Derek Smalls, qui composaient le groupe de rock anglais culte des années 70 Spinal Tap, tentaient un come-back avec une tournée américaine qui tourna rapidement au vinaigre. Reste cependant des titres aussi évocateurs que "Big Bottom", "Sex Farm", "Bitch School" ou "Hell Hole". Voir la bande-annonce.

CELUI QUI AIMAIT LES GADGETS
Lui était fou de son premier Apple Macintosh. Il lui avait coûté la coquette somme de 2500 dollars mais l'appareil était révolutionnaire. Il en était convaincu, bien aidé par la publicité à 1,5 millions de dollars réalisée par Ridley Scott et inspirée du fameux "1984" de George Orwell. Le premier Apple Macintosh était en effet le tout premier ordinateur personnel dans lequel il n'était plus obligé de rentrer des commandes de texte et de chiffres. Au lieu de cela, il pouvait le contrôler directement à partir d'une souris pour cliquer sur les images apparaissant à l'écran. Voir la pub.

CEUX QUI DÉPRIMAIENT
Pour appeler leur album "Lament", eux devaient vraiment pas être bien dans leur basket cette année-là. Il est vrai que la joie de vivre n'a jamais vraiment été le fort de Ultravox et de son charismatique leader Midge Ure. Il suffit de regarder leurs clips, notamment celui de "Dancing With Tears In My Eyes" dans lequel Midge tente à tout prix de sauver sa famille d'une explosion nucléaire imminente. Voir le clip.

CELUI QUI AIMAIT SE BATTRE
Lui était vraiment trop gentil. Où qu'il aille, "Daniel-San" (Ralph Macchio) devenait le souffre douleur des plus forts. Mais heureusement, cette fois, il rencontrait son voisin, Mr Miyagi qui lui enseigna les principes et les techniques du Karaté. Ainsi, le Karaté Kid pouvait se défendre contre les horribles Cobra qui pratiquent un Karaté violent très éloignés des préceptes originels de la discipline. Car rien n'arrête un crane kick ! Voir la bande-annonce.

CELUI QUI AIMAIT LES GARCONS
Alors que George Michael et Andrew Ridgeley de Wham! étaient auparavant vus comme des porte-paroles de la jeune génération, ils se sont mis, cette année-là, à promouvoir uniquement le plaisir et la joie comme tout bon groupe de pop des années 80. Hédonistes et sexy, leurs chansons de cette année-là ("Wake Me Up Before You Go-Go", "Careless Whisper", "Freedom", "Last Christmas", "Everything She Wants") cartonnent et attirent alors essentiellement les jeunes filles qui kiffent les fesses rebondies, les jambes bronzées et le sourire ultra bright de George Michael. Qu'elles étaient naïves les pauvres ! Voir le clip de "Wake Me Up Before You Go-Go".

11 commentaires:

  1. Ouh, 1984, certainement une année importante, avec 1077 aussi (après ça me fait moins rêver).
    Punky Brewster, maintenant, elle a un compte twitter et j'ai vu SOS Fantômes l'année dernière à la cinémathèque française, ça nous rajeunit pas.

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  2. Et celle dont on oubliait l'anniversaire alors ? (cf John Hughes) ;-)
    Sinon, Laura Branigan ne s'en remettra pas, elle est décédée il y a quelques années... snif...

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  3. Je sais. Je sais. :-) J'ai hésité des siècles pour savoir si oui ou non je mettais SIXTEEN CANDLES. A vrai dire, j'ai énormément hésité entre Molly Ringwald et Daryl Hannah pour la "it girl" (d'une année à l'autre, j'essaye de garder les mêmes rubriques). Mais je me suis dit que je garderais Molly Ringwald pour Breakfast Club et/ou Pretty in pink ;-)

    Quant à Laura Branigan, je savais pas du tout. RIP, quoi !

    PS : Trop content que tu aies réussi à mettre un commentaire !

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  4. Punky Brewster était mon idole absolue, un modèle de cool à l'époque. Je rêvais trop d'avoir une chambre comme la sienne (à ce propos, quand on clique sur le lien, ça envoie Ghostbusters, il faudra réparer ça ;-)

    Je n'avais jamais eu la curiosité de voir la vidéo d'Ultravox, c'est vraiment drama comme jamais, mais ça colle vraiment bien au morceau.

    Il faut souligner, pour la petite histoire, qu'Andrew Ridgeley de Wham! est hétérosexuel, il est même marié à une des Bananarama.

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  5. J'ai failli m'insurger aussi pour Sixteen Candles mais c'est déjà fait :)
    Cela dit, je trouve qu'il avait aussi sa place pour "Celui qui perd son pucelage de l'année" - Anthony Michael Hall, non?

    Sinon, question: on sait que Ren déménage à Bomont, depuis Chicago, mais c'est dit que c'est en Oklahoma?

    Ah et merci pour l'origine de You Give Love a Bad Name, je savais pas!

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  6. Diane Lane et Bon Jovi, pffff, je savais pas et je suis déçu. Elle était trop bien pour lui^^
    Je rêverais d'être un "it boy" de 1984 pour que Diane Lane me consomme^^Remarque, j'en rêve toujours, même avec la Diane Lane de 2010^^

    Sinon, LE slow pour emballer de 1984, c'est "Careless Whisper" bien sûr, que j'immortalise en duo régulièrement au karaoké coréen dans un numéro rodé et légendaire, héhéhé !

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  7. @Virgo & @ariohlala : Non mais c'est fini de se plaindre, les groupies de John Hughes ! :-D

    Je garde les mêmes rubriques, rubriques au sens assez larges pour être reprises d'une d'une "promo" à une autre. Donc, quand je remplis les cases, je dois faire des choix ! Et puis je ne vais quand même pas faire des références à John Hughes dans tout ce que j'écris ! ;-)

    @Virgo : En fait, tu as raison. C'est effectivement jamais dit dans Footloose dans quel état se trouve Bomont. Mais j'ai toujours pensé que ça se passait en Oklahoma car le film est inspiré d'une histoire vraie qui s'est justement déroulée en Oklahoma
    http://www.people.com/people/archive/article/0,,20076503,00.html

    @David : Non mais Careless Whisper au karaoké coréen, quoi !!! La prochaine fois, je viens avec une caméra et je mets ça sur YouTube !!! ;-)

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  8. Ah mais au karaoké coréen on chante surtout en anglais, normal^^ Et des standards ! Et un jour avec un pote on a tenté "Careless Whisper", et depuis c'est devenu un moment incontournable des séances de karaoké, le clou de la soirée (déjà filmé, mais interdit de youtube !!) ;)

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  9. Dans tout ce que t'écris non, mais quand ça concerne les années 1984-1987 et que ça s'intitule "yearbook", c'est un peu un passage obligé!! ;)

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  10. @Virgo : Promis, je les mettrais pour 85 et 86 ! :-D

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